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16 avril 2006

Redaction

Sujet de brevet: Vous racconterez dans votre journal intime, un moment de grande peur qui eu une fin heureuse.Vous ferez alterner récit et expresssion des sentiments et vous ne manquerez pas d'inclure dans un passage argumenté votre combat entre la peur et la raison.

(Bon je sais bien que je n'ai pas bien suivis les consignes tel qu'alterner des faits et des sentiments, et il n'y a pas vraiment de passage argumenté. Et j'aurais preferer finir sur une fin malheureuse, je trouve que ça allait mieux mais bon, vive les consignes ^^. J'en suis quand meme assez contente.)

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3 fevrier 1872, 23 h 00

Cher journal, ce soir est non peut-être mais vraiment ma dernière nuit. Mon angoisse monte. Il fait froid, tres froid et j'éprouve un intense besoin de reconfort.Mais je suis seule, si seule et j'ai trés peur. Comme une sorte d'engourdissement épouvantable monte en moi. Une fois de plus un malaise m'envahit; le temps, l'heure m'effraient. Ce temps qui m'amène dans ce néant remplit de mensonges et d'horribles gens qui me jugent hypocritement et qui m'ont inculpée. Je n'ai plus aucune chance, mon coeur est dégouté de ce monde. Mes os se glacent à l'idée de ma dernière heure. Je suis condamnée, condamnée à mourir pour une chose que je n'ai pas comise. Non! Je ne veux pas, mais déja d'affreuses pensées viennent m'horrifiées. Je n'ai plus d'espoir, ainsi le meurtrier c'est moi. Mais si! il me reste une dernière chance, si ridicule; pourquoi donc me gracierait-on? Je vais alors payer pour ce que j'ai fait ou plutôt ce que je suis censée avoir fait. Je vais mourir. Je me lamente. Cette infime chance me torture. Je ne veux plus y penser. tout est finit à present! A quoi bon avoir de l'espoir, la vie est dure et triste. Regarde cher journal, elle m'a condamnée! Je sent mes pieds se glacer comme jamais. Il fait trop sombre en cette cellule morne et grisatre. Je veux me laisser mourir. Mais la raison ou plutôt la folie de cette petite chance résiste. Je suis à bouts! Mon esprit veux vivre. Un grincement non lointain me fait trésaillir. Mes membres tremblent. Mon coeur s'emballe. Cher journal...cher confident...Adieu!

4 fevrier 1872, 00 h 30

Cette chance si infime, cher journal etait en réalité immense! Je suis graciée et heureuse! Il ne me reste plus qu'une semaine d'emprisonnement, puis à moi famille et liberté! La vie n'est elle pas magnifique?

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Commentaires
T
tu vois, là aussi, je me souviens, j'avais laissé un com'!! bon, bref. Il est bien écrit ton texte.<br /> <br /> bain, pour les sentiments c'est assez bien rédigé.. mais la fin c'est vrai, ça colle pas trop
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